L’habit et le masque d’un acteur ne font pas d’un homme un acteur.
Hippocrate ; La loi, I – IVe s. av. J.-C.
Voici, aujourd’hui, quelques observations d’une affection traitée par les plantes et essences aromatiques.
Premier cas :
En août 1980, soit deux mois après le début des soins, la malade annonça que les phénomènes de cystite avaient disparu dès le lendemain de son traitement. La majeure partie des autres symptômes s’était également évanouie. Persistaient simplement une légère sensation de fatigue et quelques palpitations.
En janvier 1981, après un traitement exclusivement phyto et aromatique, effectué par périodes, l’état général était excellent et la cystite, en particulier, n’avait par reparu.
Second cas :
Une autre observation mérite également d’être relevée eu égard à la gravité des signes présentés par cette malade de 57 ans qui vint consulter les hygiénistes en juillet 1979. Cette femme souffrait, en effet, depuis plusieurs années de vomissements quotidiens accompagnés de brûlures très pénibles, également de douleurs vésiculaires fréquentes provoquées par des calculs, et de douleurs vives d’arthroses multiples … Son état général était déplorable. Le bilan biologique demandé – comme il fallait s’y attendre – s’avéra très perturbé dans ses divers éléments (numération globulaire et formule leucocytaire, vitesse de sédimentation, taux de calcium et phosphore sanguins, chiffre des protides sanguines …). Les radiographies pratiquées au niveau de son estomac révélèrent une hernie hiatale avec un important reflux œsophagien.
En raison d’un état plus que déficient, la malade avait, depuis 17 ans, subi de nombreuses interventions : plusieurs au niveau des trompes, une autre nécessitée par une péritonite, l’ablation de la thyroïde, notamment. Elle refusait désormais toute nouvelle opération.
On conseilla un traitement comportant exclusivement des essences aromatiques et quelques plantes sous forme de poudre, teintures ou décoctions : aubier de tilleul sauvage, poudre de prêle, raphanus (le radis noir). Pour agir plus efficacement sur les brûlures gastriques et œsophagiennes qui rendaient à cette malade l’existence particulièrement pénible, on compléta par de l’argile à la dose d’une cuillerée à café dans un demi-verre d’eau, chaque matin au lever. Quelques directives alimentaires achevèrent l’ordonnance.
Après 10 jours de traitement : disparition des vomissements et des brûlures, état général en voie manifeste d’amélioration. Deux mois plus tard, les symptômes – dans leur généralité – s’étaient estompés d’environ 50 %.
Deux nouveaux mois plus tard, cette femme avait retrouvé, selon ses propres termes, « sa vitalité d’autrefois ». Elle n’avait toujours pas revomi, ne souffrait plus et son poids avait augmenté de 3 kg.
Huit mois après, le bilan biologique de contrôle, sensiblement normal, confirmait les résultats obtenus.
En septembre 1983, soit plus de quatre ans après le début du traitement, les résultats se maintenaient dans leur ensemble, à l’aide d’un traitement de phyto et aromatique pratiqué de manière discontinue.
Troisième cas :
La troisième observation concerne un enfant de 10 ans opéré d’appendicite gangréneuse en décembre 1973. Les suites opératoires, normales pendant 3 jours, se compliquèrent très vite par une température à 39° et un empâtement du petit bassin. Quarante-huit heures plus tard, une incision permettait de drainer un abcès à odeur gangréneuse de la fosse iliaque droite. Puis apparurent des vomissements bilieux, ainsi que l’arrêt total des matières et des gaz. Malgré des soins très éclairés, les vomissements persistèrent, devinrent noirâtres. Un traitement par pénicilline associée à d’autres antibiotiques et des extraits de foie ne peut empêcher l’apparition, au 17ème jour, d’une pleurésie droite à pus fétide (« flore microbienne variée et abondante »). L’état général, on le conçoit, était des plus mauvais : des transfusions apparurent nécessaires.
Trois jours plus tard, devant un tel tableau dont la gravité ne saurait échapper, un traitement à base d’essences aromatiques et de plantes fut entrepris, tant par la bouche que par voie rectale. Deux jours après, une nouvelle incision s’avérait nécessaire pour le drainage d’une seconde collection fétide du petit bassin.
Deux transfusions supplémentaires furent alors pratiquées et on assista, en quelques jours, à une amélioration de l’état général qui fut suivie d’une guérison et d’une convalescence normales.
Le traitement par les essences aromatiques avait été appliqué, au total, un mois et demi (Dr G. à StP., Allier).
Huit ans plus tard, l’enfant – qui est devenu un jeune homme actif – bénéficie toujours d’une excellente santé.
Image parAugusto Ordonez de Pixabay
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Nessale10/10/2010 à 14h37merci pour ces témoignages ! je vois que tu a réussi avec ton css 😉 sur per le forum je savais meme pas qu'on pouvait en mettre un sur un blog ! pour moi un petit accident sur la toile ….mais rien de grave maintenat je sais qu'il y a pire que les modos du forum ob lol bisous bonne apres midi
Helliotle09/10/2010 à 06h49Bonjour miss, comment tu fais pour le gravatar dans les coms, en plus le tien bouge ?Tu as mis un fond de texte à gauche couleur lavande, cool, en plus ça bouge aussi comme avec le vent.Tu vois sur les blogs j'ai souvent des soucis de vue, quand l'écriture ne tranche pas assez avec les fonds de couleurs (trop souvent de noir, alors que l'idéal pour mieux lire c'est noir sur fond très clair).Très bon w end, bisous.Jaky
Helliotle08/10/2010 à 23h24Bonsoirje voulais mettre un com là où défile le message pour nessa,parfois sur les blogs j'ai du mal à voir où mettre les comsil est énorme le blog, une vraie bible, plutôt un quid tellement il y a d'infosbisous à bientôtjaky