Alimentation et physiologie sont étroitement liées et la science de la nutrition apparaît comme l’avenir de la santé. Pour l’individu, c’est la science de l’alimentation qui réunit l’étude des aliments en tant que composés biochimiques utilisables par l’organisme. La digestion des aliments et leur assimilation, d’où dépend la régulation neuro-endocrinienne, la pathologie engendrée par les carences et les déséquilibres alimentaires provoqués par leur excès ou leur défaut, constituent la science de l’alimentation : premier élément de la science de la nutrition.
Pour ne citer que quelques exemples, une personne émérite comme Madame Lucie Randoin nous a fait savoir que l’organisme exigeait un certain équilibre alimentaire pour bien se porter.
Respecter l’équilibre alimentaire. Les équilibres alimentaires doivent être impérieusement réalisés entre tous les constituants de la ration quotidienne ; et tout au long de la croissance. Pour assurer ces équilibres alimentaires, il est nécessaire comme nous le disait Lucie Randoin, que tous les principes nutritifs et non énergétiques existent dans les rations en proportions convenables. C’est pourquoi des rapports déterminés devront donc exister entre les divers aliments et leurs constituants.Respecter une qualité d’alimentation. Il se révèle évident que l’application de tous ces rapports alimentaires, qu’exigent les besoins physiologiques, commande des rations équilibrées, sans lesquelles les constituants biochimiques des aliments s’utiliseront mal dans l’organisme et provoqueront des perturbations, des malaises, des troubles fonctionnels, quand ce ne sera pas la maladie bien ou mal caractérisée. Ne mangeons point n’importe comment, mais suivant des règles, des normes, des rations adaptées à l’organisme. Nourrissons-nous correctement en choisissant la qualité de nos aliments.
L’avis du Docteur Alexis Carrel. Le Docteur Alexis Carrel, (voir Biographie ici) prophétisait que nos aptitudes, notre destinée étaient tributaires dans une certaine mesure de la valeur de notre alimentation. Certes, la valeur humaine dépendra de la matière alimentaire qui l’aura formée. N’oublions pas, cependant que l’homme constitue un tout inséparable et que le pain de la terre n’est plus qu’un support indispensable à la nourriture de l’âme.
Le végétarisme
– Suppression de viande déterminant une carence protéique. Les céréales, pain complet, légumineuses, champignons levures, sont difficiles à digérer, suralimentent vite l’intestin, le foie. Leur consommation abusive pour être suffisante, n’est pas apte toujours à fournir la ration nécessaire en protéines et certains acides aminés indispensables.
Alors qui croire ? Personnellement, je ne suis pas végétarienne. Et, si vous êtes un fan du régime végétarien, vous pourrez trouver, dans ce blog, quelques exemples de menus et résumés d’étude sur les aliments spécifiques composant la base de ce précis de diététique rationnelle.
Quelques explications sur ce blog, ouvrir ici.
Les aspects positifs du végétarisme
Les points négatifs
Toutefois, les avis sont partagés. Selon un célèbre médecin, le Dr Oudinot, il existerait certains dangers sur les habitudes de régimes naturistes et leurs incidents d’adaptation soit par :
– La suppression de viande déterminerait une carence protéique. Les céréales, pain complet, légumineuses, champignons levures, sont difficiles à digérer, elles suralimentent vite l’intestin, le foie.
– Et leur consommation abusive pour être suffisante, n’est pas apte toujours à fournir la ration nécessaire en protéines et certains acides aminés indispensables.
Quant à ma mère, je n’ai jamais eu l’impression qu’elle était en meilleure santé face à d’autres personnes pratiquant une alimentation traditionnelle.
Vous trouverez, dans ce blog, quelques exemples de menus et résumés d’études sur les aliments spécifiques composant la base de la diététique rationnelle végétarienne. A chacun de choisir sa vérité.